La dépouille de cette Journaliste en service à la commission pour les forêts d’Afrique centrale (Comifac) a été retrouvée au quartier Etoa-Meki en plein cœur de la ville de Yaoundé.
Les images sont chocantes. C’est un corps sectionné en deux au niveau du tronc, que les riverains ont découvert dans une rigole. Chacune des parties a été déposée dans un sac, le visage découvert. Il S’agit d’un corps à moitié nu, dont les parties intimes étaient recouvertes d’un soutien et d’un slip. Des heures plus tard les images ont fait le tour de la toile, sans que des personnes ne réussissent à identifier le corps.
Dans la matinée du mardi 9 avril, enfin un nom est collé sur cette dépouille qui a laissé stupéfaits plus d’un passant et internaute. La victime s’appelle Sylvie Louisette Ngo Yebel. C’est une Journaliste, responsable de la cellule de communication, au sein du secrétariat exécutif de la commission pour les forêts d’Afrique centrale (Comifac).
Dans un communiqué du réseau des communicateurs pour l’environnement en Afrique Centrale(Receiac), l’organisation à laquelle elle appartenait, s’est offusquée par la voix de son Président, Raoul Siemeni C’est un acte inacceptable, d’une cruauté insoutenable qui bouleverse ses proches, ses collègues, et l’ensemble de la grande famille du réseau des communicateurs pour l’environnement en Afrique Centrale peut-on lire. Le texte ajoute que la mort de Lisette Ngo Yebel est un affront à la dignité humaine et une menace à la liberté d’expression et le travail des professionnels de la communication
Le (Receiac) dans sa sortie, exige la condamnation des auteurs de l’assassinat de Sylvie Louisette Ngo Yebel.
quelle cruauté. Mon Dieu
Vraiment triste